Ce matin j’ai lu, avec colère et stupéfaction sur Boulevard Voltaire, un article de J.-P. Fabre Bernadac sur les commémorations des attentats du 13 novembre 2015 par « môssieur 4% » dont l’une au Stade de France où un seul intervenant a prononcé un discours. Il s’agissait de Michaël Diaz, fils de Manuel Diaz tué au stade de France. Dans ce discours il a dit notamment, parlant de son père :
« Il était la preuve incarnée que l’intégration était possible et nécessaire… Nous devons continuer à avancer en toute liberté, en ne cédant jamais face à ceux qui veulent nous terroriser » …//…
« C’est en offrant les mêmes opportunités à tous que nous réussirons à empêcher que les ressentiments de certains ne se transforment en brutalité pour tous »…//…
Belles phrases, beau sermon !! Hélas pas tout à fait de l’auteur puis qu’il avoue:
« On nous donne rarement la parole et elle est contrôlée. On nous empêche de pointer du doigt les responsabilités politiques et, comme à Nice, on tombe dans les discours bien-pensants. Mon discours pour le dévoilement de la plaque commémorative a été, par exemple, relu et corrigé par l’Élysée »…//…
À la place de Michaël Diaz j'aurais refusé de lire le texte. Mieux encore j'en aurais écris un autre, vrai, celui-là. Bel exemple de manipulation des esprits qui fait plus penser que le pays est dirigé par un petit tyran que par « un président normal », d’autant plus que son pouvoir, en 2012 a été presque usurpé !! Certains, comme Patrick Jardin, ont refusé non sans raisons à participer aux commémorations. Le même Patrick Jardin qui a dit que l’heure était à la vengeance et non aux commémorations. Il a bien raison.
Alors, Paris ou Pyongyang ?? Hollande ou Kim Jong Un ??
Ne serait-ce pas plutôt Hol Jong Deux ??
Vivement 2017 et la fin de la tyrannique-socialie-de-terra-nova-et-cons-sorts.