Coronavirus vs macronavirus :

« La pauvre » Agnès Buzyn, ex-ministre de la santé, ex-candidate à la Mairie de Paris, délatrice et pleurnicheuse à ses heures (la chochotte ne sait plus que faire, elle n’a plus de boulot), vient de nous dévoiler les dessous véreux du coronavirus transformé en « macronavirus ». Elle aurait, parait-il avertit le chef de l’état (de délabrement de la France) au mois de janvier de l’importance d’une épidémie à venir et de la décision à prendre d’annuler le premier tour des élections municipales ! Si cela s’avère exact et ça doit l’être puisque le grand guignol de Matignon Edouard Philippe l’a confirmé, l’ex-ministre de la santé est doublement coupable : 1) De n’avoir pas démissionné de son poste immédiatement ; 2) de n’avoir pas informé les médias qui auraient, n’en doutons pas, averti la population en droit de savoir de quoi il retourne exactement. Ce que nous avons du mal à discerner encore aujourd’hui.

Résultat un cafouillage total du p’tit chéchef des armées qui, sachant ce avancé plus haut, prônait les sorties au théâtre et tout le toutim !! Plus tard c’était l’interdiction des rassemblements de plus de 5000 personnes !! Pourquoi 5000 et pas 4000 ou 6000 ? Rassemblements restreints à 100, puis 50 et maintenant à plus rien !! Cafouillage par manque de matériels, notamment en masques et respirateurs dont le professeur Salomon nous explique tous les soirs que les approvisionnements se poursuivent alors même que les médecins libéraux et les infirmières crient à la pénurie !! Maintenant, plus exactement depuis ce lundi : confinement général avec possibilité de sorties dument règlementées par attestation « datée et signée » digne « des ausweis » sous l’occupation allemande, sans arrestation (tout de même, ça viendra peut-être) mais avec amende de 135€ pour les récalcitrants et/ou imprudents !! Sorties règlementées à tel point qu’un pauvre quidam (vu aux infos) assis sur un banc public, seul, donc dans l’impossibilité de contaminer son prochain ou d’être contaminé par lui, s’est vu, presque malmené par des forces de l’ordre en mal d’autorité ou plutôt en abus de celui-ci, dans l’obligation de quitter ce lieu paisible et de rentrer illico chez lui. Si ce n’est pas de l’abus d’autorité qu’est-ce ? Confinement oui mais, pas à ce point ridicule autant qu’inefficace parce que non adapté.

Autre aberration, mais celle là est coutumière, j’ai lu ce matin que des officiers de police avait reçu consigne de ne pas intervenir dans les banlieues pour faire appliquer le confinement et encore moins le contact rapproché des individus !! Si la racaille a l’intention de se contaminer mutuellement c’est son problème mais alors interdisons les banlieusards de sortir de leurs trous pour ne pas contaminer les autres. Autre exemple : Sur une vidéo qui est passé en boucle sur le net, on voit le marché ouvert de Barbès avec un agglutinement impressionnant d’acheteurs en promiscuité immédiate et là encore, aucun policier pour verbaliser ou faire évacuer les lieux !! C’est le « en même temps » du macronavirus qui sévit  à l’Élysée.

Cet épidémie nous aura appris au moins une chose : lorsque cet épisode malheureux sera terminé, dans le calme, il nous faudra éclaircir ce cafouillage et faire ressortir les responsabilités des uns et des autres. Non pour systématiquement sanctionner, encore que pour certains ... , mais pour en tirer les leçons afin que cela ne sa reproduise plus. Mais là, connaissant la mémoire très courte de mes concitoyens, permettez-moi d’avoir quelques doutes. Quand à nos politiciens plus ou moins inconscients qui nous annoncent les mesures à prendre en relocalisations d’entreprises et réindustrialisation, permettez-moi là encore de douter de promesses qui ne concernent que ceux qui les reçoivent, suivant la formule consacrée.