Fiction ou réalité

Aujourd’hui, je vais vous conter l’histoire d’un jeune homme orphelin, un peu simplet, qui vivait dans un petit village. Le jeune garçon aimait tous les habitants et se rendait serviable envers eux, à toutes occasions au point qu’il était devenu « le rosier de madame Husson » du village et les habitants le lui rendaient bien. Ces braves et honnêtes villageois étaient tellement gentils, qu’ils accueillaient à bras ouverts les étrangers venus s’installer au village. Tout se passait bien jusqu’au jour où un habitant fût sauvagement assassiné. Or il se trouve que ce villageois était celui que le jeune homme, aimait le plus aimé, le considérant un peu comme son grand frère ou même son père.  Cet assassinat le rendit fou au point de Faire un véritable carange autour de lui  tuant ceux qu’il soupçonnait d’être les auteurs du meurtre de son ami Tant et si bien qu’il fût obligé de l’éliminer.

Cette « histoire » imaginée juste avant de m’endormir hier soir, vous l’aurez compris, est là pour démontrer que ce petit village pourrait être comparé au grand bourg nommé France, dont la population est exaspérée, parce que lâchée par le laxisme de politiques qui ont abandonné l’idée première et régalienne des dirigeants d’un pays comme le nôtre qui est avant tout le bienêtre et plus que tout la sécurité des citoyens. Or la lâcheté de ces dirigeants, dont le  chef est obnubilé par la question climatique, mégalomane se prenant lui aussi pour le maître du monde comme il essaie de le faire croire aux autres chefs d’états qui ne sont pas dupes, va contribuer à ce que le peuple se transforme en justicier comme le « simplet » de l’histoire et que cela se termine par un bain de sang, tant ces honnêtes citoyens en ont marre qu’on les prennent pour des idiots et marre que leurs enfants, parents amis, voisins ou simplement compatriotes se fassent égorger, violer, violenter par certains étrangers accueillis avec une humanité et une bienveillance pour lesquelles ils n’ont rien en retour, si ce n’est que mépris et dédain de ceux à qui ils ont généreusement ouvert les bras.

À méditer .....