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Les internats d'excellence (*)

Vincent Peillon, idiot utile de l'éducation nationale, avait menacé de fermer les internats d'excellence instaurés sous Nicolas Sarkozy. Il revient sur sa décision, les jugeant au final profitables si bien qu'il veut les généraliser !!

Il prévoit donc de débourser 150 millions d'euros pour ceux existants et propose de créer 6000 places supplémentaires. Preuve que tout n'était pas si mauvais avant, non ?

Tout cela est excellent mais ou il dérape complètement et de fait devrait réapprendre à compter c'est lorsqu'il affirme, je cite : "Chaque élève pour qui le ministère versait 12000 euros coûtera moins cher, car il sera en partie pris en charge par les collectivités locales. Une différence notable" !!

Différence pour qui ? Pour le CONtribuable ? Sûrement pas puisque c'est lui qui paie la facture en dernier lieu et en totalité.

Cela reviendrait à dire : On vous prend une partie des dépenses dans une poche et la différence dans l'autre...

Sacré Peillon, Il est "impayable".

Après les salles shoot, "les salles du sexe" (*) ...

... dans les prisons !!

Madame Taubira, qui décidément ne rate pas une occasion de gâter ses chouchous incarcérés dans les prisons, va multiplier "les unités de vie au parloir", comprenez "chambres d'amour" pour permettre à nos délinquants déjà "suraménagés" de se "soulager" de temps à autre. Il existe 35 unités de ce type sur les 190 prisons, la garde des sots (et saucisses) veut en installer 135 supplémentaires, au frais bien entendu des contribuables qui sont bien souvent les victimes des loubards choyés par madame.

Dans la chronique de François Reynaert (*)

Lu dans la chronique de François Reynaert cette aberration qui lui fait dire : "Les immigrés dans ce pays sont des contributeurs nets aux budgets sociaux. Ils paient plus qu'ils ne touchent. Si on ne les a plus, on ne se retrouve plus avec un trou à la Sécu, mais avec un gouffre"!!

Pas moins que ça, le bougre.

Je ferais remarquer à ce chroniqueur que les immigrés, quand bien même ils seraient tous salariés, ce qui est bien loin d'être le cas,ils ne rempliraient ni le trou de la Sécu ni le déficit de l'état, loin s'en faut, car :

  • L'immense majorité de cette population ne paie pas l'impôt sur le revenu, pas d'impôts locaux car la plupart est logé dans des hôtels, aux frais du contribuable.
  • Cette population survit bien souvent plutôt qu'elle ne vit et donc l'essentiel de sa consommation est la consommation de biens usuels de première necessité et de nourritures. Donc il versent "effectivement" leur écot à la société à raison de 5,5% de TVA payée sur leur consommation. Autant dire que c'est nul par rapport aux sommes versées (RSA, allocations familiales, etc.) Je ferais également remarquer que la plupart du temps ils économisent leur argent pour l'envoyer à leurs familles à l'étranger et donc ne le mettent même pas dans le circuit économique du pays.
  • Tous les étrangers en situation irrégulière sont assurés médicalement à titre gracieux (600 millions d'euros annuels pour le contribuable qui lui est de moins en moins remboursé).

Alors, monsieur le chroniqueur, deux choses l'une : Ou bien vous êtes malhonnête, ce que je n'ose imaginer ou alors le socialisme vous aveugle au point de ne plus savoir compter à l'instar de nos gouvernants.

*- Propos glanés dans le Nouvel observateur

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