Dans le sud-ouest, nos amis éleveurs gavent les canards et les oies pour le plus grand plaisir des gourmets. À l'instar de ces artisans du goût mais, cette fois, pour notre plus grand malheur le gouvernement pratique sur nous "le gavage de cerveaux", instillé à petites doses homéopathiques de désinformation depuis plus de deux ans, aidé en cela par des médias plus que complaisants. Entendez par là qu'il cherche à enfumer et peut-être même à détruire, par la pensée unique et donc par l'intox, ce qui nous aide à réfléchir : le cerveau. Il faut "impérativement" entrer dans le moule de la bien-pensance socialiste afin de nous conformer, de nous "intégrer" dans la nouvelle société "genrée" et égalitariste par un fort nivellement par le bas déjà mis en pratique dans l'éducation nationale afin de formater les petits cerveaux de nos têtes blondes des petites têtes diversifiées grâce à une minorité de plus en plus visible.
Mais, pour revenir sur les faits qui nous intéressent, depuis trois ou quatre jours, il se passe des choses bizarres en France, à Paris, à Dijon, à Jouey-les Tours, à Nantes (*) où l'on a vu des "individus déséquilibrés " (Dixit la police politique) attaquer pour tuer, à l'arme blanche des policiers ou en fonçant en voiture sur la foule pour massacrer des passants.
Ça fait quand même beaucoup de "fous" en si peu de temps, non ? Mais, enfin, puisqu'on nous dit qu'il s'agit de personnes fragiles, de déséquilibrés, qu'il faut leur pardonner parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font, il faut "boire" les paroles et les affirmations de nos gouvernants et les prendre pour argent comptant. Eux seuls savent ce qu'il y a dans nos cerveaux et ainsi déterminer qui est fou et qui est sain d'esprit. On peut et on doit leur faire confiance.
De plus il est interdit sous peine d'être taxé d'islamophobe, de rapprocher les actes de "ces détraqués" à ceux des barbares islamistes. On vous le répète, il n'y a aucune corrélation possible entre des actes terroristes et les faits divers perpétrés par des malades mentaux !! Et surtout, surtout restons calmes, pas d'amalgame, pas de stigmatisation, on vous le dit, la loi l'interdit.
En clair, le gouvernement veut, absolument, nous faire admettre que les pauvres petits gars (1300 moins les morts!) qui sont partis faire le djihad ne sont, hélas, que de pauvres malades mentaux qu'il nous faudra soigner à leur retour au pays. Du moins ceux d'entre eux, le plus petit nombre espérons le, qui auront eu la chance (malchance pour nous) de revenir. Souvenez vous tout de même que si infime soit le nombre de ces abrutis qui reviendront sur le territoire, notre sécurité s'en trouvera menacée.
"Soyons vigilants" comme le prône notre premier ministre. Il nous demande "de réagir" face aux jeunes qui se sentent "impliqués" par le djihad !! Réagir comment, monsieur le premier ministre ? Donnez nous le mode d'emploi, nous vous jurons de le suivre à la lettre .... Dans le même temps il annonce : "Jamais nous n'avons connu un aussi grand danger" !! Nous cacheriez-vous quelque chose monsieur le premier ministre ??
Hélas, je crois malheureusement et je ne le souhaite en aucun cas, qu'il faille un attentat meurtrier, pour faire comprendre au gouvernement une fois pour toutes que nous sommes en guerre contre la barbarie et que les traîtres à la nation qui nous combattent au nom de cette secte qui se fait appeler "daech" doivent être traités impitoyablement par des tribunaux militaires d'exception. (**) Voilà monsieur le premier ministre la seule façon "de réagir" à ce cancer, à ce fléau mondial.
Terrorisme: «Jamais nous n'avons connu un aussi grand danger»
Nantes : l'homme qui a foncé dans la foule s'est donné neuf coups de couteau
* - L'auteur du "fait divers" de Nantes s'est paraît-il donné pas moins de neuf coups de couteau sans parvenir à se tuer. Il aurait voulu se "louper" qu'il n'aurait pas fait autrement).
** - Pendant la première guerre mondiale, beaucoup de soldats ont été fusillés non pour traîtrise mais pour avoir défilé, qui avec une fleur au fusil, qui la crosse du fusil en l'air, en guise de protestation.
Nous sommes en guerre, agissons comme tel avec ceux qui attentent à nos vies.