« La honte », c’est le PS !!!
Martine Aubry ferait mieux, avec toute sa clique du PS de se mettre dans un trou profond et de ne plus en sortir au lieu de critiquer le débat sur l’identité nationale à laquelle on est forcé, par une certaine population, à l’associer à l’immigration et dire que la France devrait en avoir honte. (?)
Quand on accepte sans broncher les exactions de « français » issus de l’immigration (cela ne mérite même pas la majuscule) qui cassent, caillassent, brulent, et violentent la population et les biens comme c’est le cas des loubars qui descendent comme des meutes de chiens enragés des ghettos qu’ils se sont eux-mêmes fabriqués en obligeant les populations non musulmanes à déserter leurs foyers, alors on ne vaut pas mieux.
Madame Aubry est fière de ses origines Basques !! Et bien moi aussi, je suis fier de mes origines bretonne, alsacienne et italienne (oui, tout cela à la fois) et fier d’avoir eu deux oncles tués pour défendre la France en 1914 et deux autres blessés en 1944 en Alsace, pour les mêmes raisons. Mais, n’en déplaise à Martine Aubry et à ses amis, je ne me reconnais plus dans la France d’aujourd’hui.
Combien de temps allons nous supporter cette gauche méprisante, laxiste et inconsciente qui fait tous les jours un peu plus le lit de gens qui ne sont sur notre sol que pour profiter des droits et s’asseoir sur les devoirs.
Plus on en a plus on en veut…
…moins on en donne.
Pierre Bergé, peut-être parce qu’il est à la tête du Sidaction, se croit obligé de critiquer le Téléthon qui selon lui « parasite la générosité des Français d’une manière populiste ».(Sic) Thierry Lhermitte, parrain de la fondation s’est dit outré de ces propos à tout le moins méprisants.
Il ferait bien mieux, Pierre Bergé, de donner un peu plus et mieux sans mettre les tous les œufs dans le panier du Sidaction. Je pense qu’il pourrait faire beaucoup plus, surtout quand on engrange comme il le fait depuis quelques temps des centaines de millions d’euros au travers de ventes d’objets (*) non soumis à l’impôt sur la fortune et de manière quelque peu cavalière par ces temps de crise au regard de gens au chômage ou en situation précaire. Mais peut-être a-t-il besoin de l’argent de ces ventes pour boucler ses fins de mois !!
Encore un « homme de gauche » qui critique le gouvernement pour ses « gestes » envers les riches de droite et qui pourtant n’a rien à leur envier bien au contraire.
* Un certain Premier Ministre de ses amis n’a-t-il pas exonéré de l’ISF les énormes richesses accumulées et provenant d’acquisitions de tableaux et autres antiquités pour tout un parterre de bien-nantis de droite mais aussi issus de la gauche caviar.
La norme a changé de camp !!!
La première secrétaire du PS a défendu le mariage et l’adoption d’enfants en faveur des couples homosexuels. Loin de moi les pensées homophobes, mais je crois que maintenant, on veut pousser le bouchon un peu trop loin. Dans ce pays, plus on est minoritaire et plus on obtient de droits et même passe-droits de la société. C’est à croire, à voir et entendre ce qui se passe, que les hétérosexuels (le mariage et la famille « normale » qui en découlent) sont tout simplement devenus hors norme et une espèce en voie de disparition !
L’inconscience de vendeurs de « picrate »
« Deux grandes surfaces de l’Aude ont été évacuées suite à une alerte à la bombe ».
Il faut que les viticulteurs du Languedoc-Roussillon s’habituent au fait, que la consommation du vin en France diminue d’année en année en quantité au profit de la qualité et qu’il n’y a pas que la France qui produise du vin. Il faut aussi qu’ils se mettent en tête que plutôt que de faire de la quantité, ils devraient s’en tenir à la qualité. Or malgré une nette amélioration de celle-ci ces dernières années, c’est loin d’être suffisant. Que donc il ne sert à rien, et en tous cas ni à leur une image de marque ni à faire vendre leur vin, d’ameuter les clients de grandes surfaces en jouant les terroristes, même si c’est juste pour faire peur.
« La follitude » de Ségolène !!!
Fustigeant une fois de plus Nicolas Sarkozy pour avoir dit une vérité, (elle n’est pas, c’est sûr, toujours bonne à entendre, la vérité), Ségolène Royal ne veut pas admettre la folie fiscale des Régions, la sienne en faisant partie.
Je cite par exemple la dernière en date qui est l’instauration d’un carnet de chèques pour ces demoiselles des collèges et lycées qui se font engrosser aux frais du contribuable.
Ensuite, voici des extraits choisis sur les effectifs des collectivités territoriales ainsi qu‘un graphique qui montre si besoin était, la folie des grandeurs de élus locaux :
Ces dix dernières années, la FPT est celle des trois fonctions publiques (État, hospitalière, territoriale) qui a le plus augmenté.
Constat accablant : en 25 ans, les effectifs ont bondi de 51 % alors que l’ensemble des administrations augmentait de 17 % et que les dépenses des collectivités locales qui en découlent (50 % des dépenses sont des dépenses de personnel) ont été multipliées par 2 en vingt ans.
les 1,7 million de personnels locaux ont contribué à cette envolée des dépenses des collectivités territoriales. Il est urgent de se poser la question au niveau national de l’opportunité de ces dépenses qui atteindront bientôt les 200 milliards d’euros.
les administrations publiques locales – comme on les appelle en comptabilité nationale – représentent 199 Mds € en 2006. C’est 20 % du total des dépenses publiques (957 Mds €). En 1984, année où les grandes lois de décentralisation ont scellé leur développement, elles ne pesaient que 56 Mds €, soit une multiplication par 2 en vingt ans, alors que le PIB a été seulement multiplié par 1,5. Une hausse qui représente 25 % de la croissance de la dépense publique totale
La raison de cette envolée, c’est l’inflation non maîtrisée des effectifs qui ont augmenté de 51 % alors que l’ensemble des administrations augmentait de 17 %. La hausse de la FPT est près de deux fois supérieure à celle de l’État et représente la moitié de la hausse de la fonction publique totale sur vingt ans. Alors que la FPT représente moins du tiers de l’emploi public en 2005, elle a absorbé à elle seule 51 % des emplois publics créés depuis 1994. Un rythme explosif.
Les élections municipales des 9 et 16 mars derniers sont l’occasion de faire le point sur la fonction publique territoriale (FPT). Ces dix dernières années, la FPT est celle des trois fonctions publiques (État, hospitalière, territoriale) qui a le plus augmenté. Portés par la décentralisation mais aussi par le foisonnement administratif local, l’inventivité sans précédent pour de nouvelles compétences et l’interventionnisme à tous les échelons, les 1,7 million de personnels locaux ont contribué à cette envolée des dépenses des collectivités territoriales. Il est urgent de se poser la question au niveau national de l’opportunité de ces dépenses qui atteindront bientôt les 200 milliards d’euros.
Les
collectivités locales : enjeu majeur des dépenses publiques
Loin derrière les dépenses d’assurance-maladie ou le budget de l’Éducation nationale, les collectivités locales ne sont pas les administrations auxquelles on pense lorsqu’il s’agit de la maîtrise des dépenses publiques. Pourtant, leur poids n’est pas moins important ces dernières années. Les dépenses tout d’abord : les administrations publiques locales – comme on les appelle en comptabilité nationale – représentent 199 Mds € en 2006. C’est 20 % du total des dépenses publiques (957 Mds €). En 1984, année où les grandes lois de décentralisation ont scellé leur développement, elles ne pesaient que 56 Mds €, soit une multiplication par 2 en vingt ans, alors que le PIB a été seulement multiplié par 1,5. Une hausse qui représente 25 % de la croissance de la dépense publique totale
La raison de cette envolée, c’est l’inflation non maîtrisée des effectifs qui ont augmenté de 51 % alors que l’ensemble des administrations augmentait de 17 %. La hausse de la FPT est près de deux fois supérieure à celle de l’État et représente la moitié de la hausse de la fonction publique totale sur vingt ans. Alors que la FPT représente moins du tiers de l’emploi public en 2005, elle a absorbé à elle seule 51 % des emplois publics créés depuis 1994. Un rythme explosif.
Plus précisément, c’est le secteur communal qui arrive en tête, employant encore les deux tiers des effectifs des collectivités locales. Il est en hausse de 10 % sur dix ans mais représente plus du tiers de la hausse des effectifs territoriaux. Viennent ensuite, avec des effectifs plus réduits, les Départements, les organismes intercommunaux et les Régions. Mais c’est dans ces derniers justement que les effectifs ont explosé : ce sont respectivement les Régions (+ 92 %), les intercommunalités (+ 89 %) et les Départements (+ 42 %) qui ont connu les plus fortes hausses d’effectifs. Les communes restent le premier acteur local avec un volume budgétaire de 100 milliards d’euros. Les communes et EPCI (établissements publics de coopération intercommunale) concentrent 54 % de la hausse des dépenses sur la période 1994-2004, les Départements 31 % et les Régions 18 %.
A la lecture de ces passages qui dont les statistiques datent de 2006 (il faut donc rajouter celles de 2007 à 2009), on s’aperçoit que Madame Royal est donc dans cette crise de « folitude » une menteuse caractérisée.
Cohn-Bendit et le « débauchage »!!!
Cohn-Bendit a avoué avoir essayé de débaucher, pour les régionales de 2010, Martin Hirsch sans succès. C’est dommage car ce dernier commence à sérieusement nous fatiguer avec ses réformettes et ses petites phrases contre certaines actions ou membres du gouvernement. S’il n’est pas content de la soupe qu’on lui sert, il lui reste l’opportunité d’accepter l’écuelle de Cohn-Bendit. Mais, sans doute, celle-ci est-elle plus frugale.
La démocratie suivant Arhmanidejad !!!
L’ancien vice-président iranien Mohammad Ali Abtabi vient d’être condamné à Six ans de prison ferme dans le cadre des récents « troubles postélectoraux ». Il a été accusé de « complot contre la sécurité nationale, propagande contre le régime insulte au Président et troubles de l’ordre public ». En bref tout ce qui constituerait au mieux à une « garde à vue prolongée » chez nous.
Vive la République « démocratique » d’Iran.