« La commissaire Lescaut » et les crétins . . .

. . . de « ON N'EST PAS COUCHÉ »

Véronique Genest invitée de l’émission « On n’est pas couché » est tombée dans une souricière, véritable guet-apens orchestré par Laurent Ruquier, le petit roquet parasite de la télévision d’état, France 2 et les deux petites frappes qui se croient encore au temps de l’inquisition, je veux parler de Aymeric Caron et Natacha Polony qui ont cru, à tord, après Audrey Pulvar, pouvoir remplacer Naulleau et Zemmour, éjectés comme des malpropres, dont ils n'arrivent pas à la cheville, loin s‘en faut.

Bref la mal-nommée Pulvar, dans une interview accordée à  Morandini, a précisé que c’était un suicide politique, ce qui est vrai vu l’afflux de questions douteuses et incongrues posées par ces lascars. Quant-à la traiter d’inconsciente, peut-être, elle aurait dû se méfier, mais d’hypocrite là c’est simplement  diffamatoire, mais bien dans la veine de cette « journaleuse » de pacotille qui ne sait plus à quel écran TV se vendre. Quoique, les télévisions étant toutes de gauche ou presque, les portes des toilettes lui sont grandes ouvertes.

Mais revenons à  Véronique Genest. Si elle a été attaquée de la sorte c’est surtout en fonction de son appartenance politique jugée « politiquement incorrect » par ces crétins . En effet il est inconséquent et donc inconvenant de se prévaloir de droite, en l’occurrence de centre droit pour l’intéressée, lorsque l’on fait partie du showbiz, du théâtre ou du cinéma. Tout le monde (de gauche) sait que la cul-ture est de gauche et qu’il n’y a pas « d’intellectuels » de droite. C’est un pêché capital que d'avouer ne pas en être  surtout sur un plateau de télé.

Bref si à la place de Véronique Genest il s’était agit de Emmanuelle Béart, Josiane Balasco ou autre mégère en mal de césars distribués entre soi, rien de tout cela ne se serait passé bien au contraire. Les petits journaleux leur auraient passée la pommade socialiste bon teint jusqu'au trognon. Le même traitement a été attribué à Christian Clavier qui a été malmené par la gauche et les journaleux parce qu’il est allé faire un break à Londres. Je remarque qu’ils ont été plus « gentils » ou moins cons avec Afflelou qui a fait la même démarche, sans parler de Gérard Depardieu, où là ils ont été odieux (y compris  au gouvernement). Celui-ci vient, aujourd’hui même de recadrer l’homme normal de l’Élysée, et c’est tant mieux et bienvenu.

Napoléon avait traité Talleyrand dele jute serait plus approprié.