… mais pas fin … hélas …
On est en plein délire et cela confirme mon propos de l’article « Peur sur la ville » !!! En effet la mère du loubar-braqueur de Grenoble vient de porter plainte pour dit-elle, certainement sur les conseils d’un avocat avide de médias du même acabit que ceux qui ont fait échouer la reconstitution de la prise d’otages du Ponant à Nice : « Eclaircir les circonstances de la mort de son fils ».Voici d’ailleurs ce qu’elle a déclaré à l’AFP dans un entretien téléphonique : « Ils ont déconné les flics, ils ont déconné. Je vais voir le procureur et je vais porter plainte. Ca va aller très loin »
Comme de bien entendu les pouvoirs publics pour calmer les esprits surchauffés des loubars vont certainement demander au parquet d’accéder à la demande de cette pauvre mère éplorée, demande qui de facto fera diligenter une enquête de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Cette « talentueuse institution » poussée comme à l’accoutumé dans ses derniers retranchements par les pouvoirs publics conclura son enquête par la découverte « d’une bavure policière ». Les pauvres policiers qui ont, pour une fois, bien fait leur boulot seront mis en examen, il y aura un procès et comme cela la mère de ce petit truand de bas étage aura obtenu satisfaction et ... « indemnisation en espèces sonnantes et trébuchantes ainsi que les petits pourris de quartiers qui pourront à leur aise continuer leurs trafics en tous genres et emmerder la population qui subit ces exactions sans pouvoir réagir.
En « visite » sur les lieux, Brice Hortefeux comme pour endormir la population qui vit sous le joug des loubars a déclaré une fois de plus et comme les prédécesseurs de ses prédécesseurs : Vouloir « rétablir l'ordre public et l’autorité de l’Etat au plus vite et par tous les moyens » à la Villeneuve, ce quartier si paisible de Grenoble. En clair, cela veut dire dans la langue de bois des politiciens : Dormez tranquilles braves gens, l’Etat veille. Mais, comme dab, rien ne sera traduit dans les faits car cela fait des décennies que l’on nous sert le même plat.
Je l’ai déjà écris, nous sommes en FRANCARABIE et les tribunaux islamiques, c’est pour demain.