L'Etat va emprunter 4,5 milliards d'euros pour régler l'ardoise du Crédit Lyonnais

À cause de la mauvaise gestion et les magouilles en tous genres durant les septennats de François Mitterrand, L'autre François, encore plus incompétent, va devoir emprunter 4,5 Mrds d'€ (sur les marchés financiers) pour solder la banqueroute du Crédit lyonnais organisée par les amis de tonton, alors aux manettes de cette banque.

Rappelons quand même que l'ardoise pour sauver cette institution aura coûté à l'état, c'est à dire à nous pauvres CON-tribuables, 14,7 Mrds d'€, soit : 96,43 milliards de nos bons vieux Francs... Une paille...

A ces 4,5 Mrds d'€ il faut ajouter les 4 Mrds d'€ pour Marseille qui, soit dit en passant, en a bien besoin, mais qui reste une belle propagande électorale à quelques mois des municipales pour faire gagner la Mairie de Marseille à un certain Ménucci. Bravo monsieur le premier ministre. C'est sordide ...Qu'aurions-nous entendu de la part de la gauche si la droite avait fait pareil coup tordu ?

• Sans compter le 2 Mrds d'€ par an pour l'embauche des 70 à 80000 nouveaux ("enseignants", policiers et autres fonctionnaires) . Somme à multiplier par 75 (ans) c'est à dire à partir du moment où ils entrent en fonction et la date de leur disparition (paix à leur âme) et après une très longue retraite, ce qui donne : 150 Mrds, inflation mise à part !!! ... Une autre paille, étalée soit, mais grosse paille qui multiplie par 10 la déroute du CL.
• Sans compter nos amis producteurs bretons qu'il va falloir sortir du lisier où ils se sont vautrés grâce aux aides de l'Europe sans faire la moindre restructuration de leur économie. Avec à la clé les dégâts qu'ils sont en train de faire sur le réseau routier et qui va se chiffrer en dizaines de millions.
• Sans compter sur les centaines de milliers d'emplois "aidés" qui vont coûter une petite fortune (8 à 10 Mrds par an). Et devinez à qui ? À nous, pauvres et encore plus pauvres CON-tribuables. Et tout ça au détriment bien entendu des entreprises qui seules peuvent sortir le pays de l'ornière profonde dans laquelle ce président a entraîné le carrosse France en seulement dix huit mois de pouvoir sans concessions, si ce n'est celles faites à ses électeurs.

Je pourrais, pendant des heures égrener toutes les "bonnes réformes" de nos incompétents ministres (Ils s'y sont mis à 37 pour en arriver là) mais cela risque de devenir lassant. Aussi je vous laisse augurer des beaux jours qui nous attendent.