Honte au président de l’Assemblée nationale …

…  au premier ministre et à … « Moi, je .. président ».

Un abruti, dont je ne cite pas le nom tant il m’horripile, écrit un poème à 17 ans dans lequel il qualifie, entre autres insanités, le drapeau tricolore de torche-cul, « Moi, je .. président » le fait entrer en grande pompe au panthéon !!

Aujourd’hui, un grand serviteur de la nation, vrai résistant à 17 ans qui, lui,  a pris les armes contre les nazis en 1940 vient de mourir. Il s’agit de Charles Pasqua qui a été, excusez du peu, deux fois ministre de l’intérieur.

Un ministre qui n’a cessé tout au long de sa longue vie politique de défendre la France, lui qui a géré de main de maître une prise d’otages sur l’aéroport de Marseille-Marignane devenue célèbre. Lui qui a n’a eu de cesse de faire libérer les otages français au Liban.  Et bien lui, n’a même pas eu l’hommage de l’Assemblée nationale. Il a fallu l’intervention de Christian Jacob, Président du groupe « les Républicains » pour faire observer une minute de silence, alors que c’était le rôle du président de l’assemblée, Claude Bartolone de le faire à l’ouverture de la séance !! Et il a fallu que le premier ministre sinistre  se lève de son banc de ministre, après la prise de parole de Christian Jacob  et fasse le geste de se lever à toute la gauche, le cul vissé sur son banc, qui s’est levée contrainte et forcée (de vais faux-culs). C’est un véritable scandale. Et dire que cette engeance gouverne la France !! C’est à en pleurer.

Ah, s’il s’était agi d’un socialo-communiste même insignifiant, il aurait eu, comme celui cité plus haut les honneurs du Panthéon.

 Même « Moi, je .. président », pourtant prompt à prendre la parole pour nous enfumer, n’a pas eu le moindre mot !!  Il y a eu, parait-il un communiqué commun avec le premier ministre !! Ça aussi c’est un scandale inadmissible de la part d’un chef d’état !! Ça aussi ça gouverne la France !! Pauvre France.

En tous cas, personnellement je rends un modeste hommage à ce grand serviteur de l’état, d’autant que des serviteurs de cette trempe dont le pays aurait grand besoin aujourd’hui il n’en existe plus, hélas.

Ma colère et mon mépris vont à ce gouvernement de pacotille et mes condoléances attristées vont à sa famille.