BREVES (mais hélas, pas de comptoir)

J’ai appris qu’il est fortement question de nommer Philippe Val à la tête de France info. (Si ce n’est déjà fait !!)

Du coup la chaine rose-rougissant du service public va carrément virer au noir geai.

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Nouveau métier : DOCUMENTALISTE

Il parait que, bon an mal an, 350 à 500 enseignants « pètent les plombs » et se font « rééduquer » dans une espèce de sanctuaire où des « psychologues » les prennent en mains pour les faire sortir du « grand désarroi » où les a plongé l’éducation nationale afin d’essayer de leur faire reprendre le cours normal de leur carrière. Et cela sans succès, puisqu’ils ne veulent plus retourner au turbin et que donc au sortir de cet établissement, ils reçoivent une formation de « documentaliste » pour être « parqués » ou mis au placard (c’est au choix), mais avec leur traitement d’enseignant bien entendu. Ce qui veut dire en clair :

Que tous les ans nous avons de 350 à 500 documentalistes (??) en plus (pour quoi faire ??) et  350 à 500 enseignants manquants et donc à recruter pour les remplacer. A ce tarif, le non remplacement des professeurs partant à la retraite pourrait se traduire par une embauche massive de nouveaux « enseignants ».

Vive les économies « d’inertie ».

J’ajoute, que pour une question de garantie de l’emploi et de vacances payées à tout va, certains, ne sachant pas quoi faire d’autre choisissent le métier d’enseignant qui, loin de susciter des vocations comme c’était le cas il y a bien longtemps hélas, entrent dans l’éducation nationale pour le confort.

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Démocratie ou « merdocratie » ???

Réformes ou… Reculades…

Cela fait trois mois et demi que certaines « universités » sont le théâtre de manifestations et de blocage organisés par une minorité d’étudiants « bons à rien », d’enseignants chercheurs « bons à ne rien trouver de toute leur carrière » et qui foutent en l’air les études de jeunes sérieux qui, eux, veulent des vrais diplômes et non des certificats au rabais. Dans ces universités bloquées par la chienlit gauchiste, les responsables sont les Présidents de ces universités qui auraient dû, dès le début du conflit, organiser des votes à bulletin secret. En outre, vu l’importance de l’enjeu (je veux parler des examens) ils auraient dû, et cela aussi dès le début des blocages, faire appel aux forces de l’ordre pour faire évacuer manu-militari ces bandes de tarés et de dégénérés qui n’espèrent qu’une chose : que mai 68 se reproduise. Mais là encore il faut reconnaitre que le laxisme gouvernemental y est aussi pour une part responsable de cet état de fait.

La démocratie à la française veut (encore un paradoxe bien de chez nous) qu’une minorité fasse la loi et foute en l’air des réformes pourtant indispensables dans tous les domaines. Ceci est aussi bien valable pour l’Education Nationale que pour l’hôpital ou encore la prison. Je vous en passe et des meilleures.

A voir tout ce qui se passe, il est difficile, voire impossible de croire que ce pays peut-être réformé.

Le gouvernement actuel a cru pouvoir y parvenir mais il s’est trompé sur toute la ligne. A vouloir écouter toutes  ces minorités et tous ces corporatismes, les réformes engagées ou en cours ne valent pas même de les mettre en œuvre . En effet, dès qu’une mesure, qui pourtant va dans le bon sens, est annoncée, une poignée de peigne-culs suffit pour faire reculer, voire supprimer le semblant d’un début de réforme. Ou alors, cette dernière est vidée complètement des mesures innovantes ou nécessaires.

Mis à part cela, nous sommes en DEMOCRATIE à le française puisque c’est la minorité qui dirige ce pays. Et donc en 2012, même si le petit facteur de Neuilly obtient 5% des suffrages, et bien ce sera lui et sa clique qui dirigera ce foutoir.

Vive la MERDOCRATIE.