Immigration choisie

Les politiciens de tous bords et les économistes (Ils se sont tellement trompés de fois ceux-là) nous rabattent les oreilles avec « l'histoire » selon laquelle la France va manquer de main d'œuvre et que par conséquent : l'immigration est une chance. C'est un leurre pour nous faire accepter les clandestins qui sont déjà sur notre sol et ceux qui y entrent tous les jours. Des solutions existent, encore faut-il prendre le temps d'y réfléchir et de les mettre en application.

Il faut que l'Education Nationale cesse de mettre centaines de milliers de jeunes non qualifiés sur le marché du travail en supprimant notamment toutes ces filières idiotes qui ne mènent nulle part. La France n'a nul besoin de bataillons de philosophes, sociologues et autre politologues juste bon à engraisser l'armée déjà grosse des chômeurs. Mais de gens qui n'ont pas peur de mettre les mains dans le cambouis, car contrairement à ce qui est en usage à l'école, le travail n'est pas déshonorant. Loin s'en faut.

Il faut abolir cette loi stupide instaurée du temps de Mitterrand concernant la possibilité de mettre les séniors en préretraite au prétexte de dégraissage du personnel. La préretraite doit être prohibée.

Il faut reculer l'âge de la retraite à 65 ans voire plus pour tous et à 60 ans pour les travaux « effectivement » pénibles.

C'est une hérésie de conserver l'âge de départ à la retraite à 60 ans (Mitterrand encore lui) avec 41 ans de cotisations quand la plupart des étudiants entrent dans le marché du travail à plus de 30 ans. Je n'ai pas fait de hautes études mais je sais faire une addition et pour moi : 30 + 40 (ou 41) = 70 (ou 71) ans. Cette idée est valable pour les jeunes qui entrent  tôt en apprentissage ou tôt sur le marché du travail. Mais ils ne sont pas légions.

Il faut aussi, par solidarité, que tous les salariés qui ont un emploi pérenne cotisent aux ASSEDIC et aux caisses de retraites à la même hauteur que les salariés du privé. La solidarité est l'affaire de tous. En faisant cela, on résout en partie le problème des retraites et on peut développer la formation des chômeurs.

Il faut, comme c'est le cas dans beaucoup de pays développés, que les jeunes démarrent plus tôt dans la vie active et se forment tout au long de leur carrière.

Cela sans compter cette loi suicidaire que sont les 35 heures. Et dire que l'auteure de cette ineptie, loin de faire son « mea culpa » monte à nouveau les marches du podium de PS. (Parti des sots l'y laissent).

Beaucoup d'autres solution, j'en suis persuadé, existent encore faut-il s'atteler à les chercher.

Pour finir, avant de faire entrer un seul nouvel immigré, il faudrait pourvoir les 500 000 postes offerts par les entreprises tous les jours et qui ne trouvent pas preneurs. Remettons au travail ceux qui émargent aux ASSEDIC en leur donnant une  formation, formons ceux qui ne sont pas qualifiés et après on verra de faire venir, si besoin, des immigrés de la communauté européenne en priorité.