Deux poids et …. une mesure !!

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Dans une tribune de l’Obs n°2683 (page 45), Un éditorialiste, à la fois artiste-comédien-chanteur-écrivain, et oui ça existe, Magyd Cherli, pour ne pas le nommer, prend la défense de Karim Benzéma dit « Benzie » pour les intimes ainsi que ses petits copains de quartier qui eux n’ont pas réussi !! Par contre, pas un seul mot de la victime du maitre chanteur Benzie : Mathieu Valbuena !! Ni pourquoi, alors que le footeux engrange tous les mois de quoi se payer un château, celui-ci s'est embarqué  dans cette galère. Non, il n'a d'yeux que pour « les Chimène-issues-de-l'immigtation ».

Jusque-là rien que de très normal entre communautaires maghrébins. Seulement l’article de ce monsieur démarre sur les chapeaux de roues en affirmant, parlant des franco-maghrébins, je cite : « Qu’ils aient réussi et c’est rare, ou qu’ils remplissent à des pourcentages ahurissants les prisons du pays les fils d’immigrés sont atteints d’une schizophrénie bien française… » !!

Cela ne vous choque pas ? Ces propos écrits dans un journal de gauche sont pour le moins surprenants. Il est vrai qu’au fil des lignes de l’article, l’auteur n’a de cesse de plaindre ces pauvres « français-quelque chose », ceux qui ont réussi comme ceux qui rament, les faisant passer pour de pauvres victimes.

Pourtant pour des écrits à peu près similaires, le malheureux Éric Zemmour a été trainé devant les tribunaux par des associations malfaisantes et « antiracistes à sens unique » et condamné à 2000 euros d’amendes, lesquels sont restés muets et pour cause. C’est un des leurs qui a osé l’anathème et en cela ça n’est pas si grave… Mais où sont passé SOSracisme, le Cran, le MRAP et autre LICRA ??

C’est en cela que je me dis que dans ce pays qui n’en finit pas de partir en biberine, il y a bien deux poids mais une seule mesure. Celle de la bien pensance de gôche, politiquement correcte même quand elle dérape en affirmant les mêmes vérités que Zemmour, qui lui est forcément dans le camp du mal. L’absolution, voire l’encouragement par la publication, pour l’un, la punition, voire le déshonneur pour l’autre …

Vive la liberté d’expression à sens unique.